– littérature

Ella Balaert, Pseudo, éd. Myriapode, présentation

  • Broché:144 pages
  • Parution:  décembre 2012
  • Editeur : Éditions Myriapode
  • Diffuseur Distributeur: Pollen
  • Langue :Français

 Résumé:

Trois femmes inventent un personnage commun, qu’elles baptisent d’un pseudo, Eva, et qu’elles incarnent tour à tour sur Internet, se passant le relais comme les trois soeurs Grées de la mythologie grecque se partageaient un oeil et une bouche uniques. Une correspondance  régulière par mails  s’établit, entre d’une part, Eva et un homme, Ulysse et entre les trois amies, d’autre part. Jusqu’à la surprise finale. Car sur le Net, toutes les manipulations sont possibles.

Jeux de séduction épistolaire, libertinage amusé, avatars, masques, mensonges et vérités, vertiges identitaires entre réel et virtuel… On croit ne jouer qu’avec les mots. Mais  le drame couve.

Avec, dans les rôles principaux, Jeanne, une jeune musicienne, romantique ; Sophie, mondaine et cynique ; Alice, une kiné trentenaire  très joueuse et Ulysse, un élégant antiquaire.

Roman épistolaire.

Lecture publique à Senlis (Oise) 

(librairie le Verbe et l’Objet) 

     

Avec Chloé Galibert-Laîné (Choix des extraits, montage vidéo – Alice), Camille Dagen (Sophie), Ludivine Bernazzani (Jeanne) et la voix de Cyrille Andrieu-Lacu (Ulysse)

 Accueil du livre et critiques:

  • Janvier 2014, lelitteraire.com: 

    « Vouloir raconter par menues séquences de courriels entrecroisés le quotidien de femmes, leur ennui, leurs amours, leurs emmerdes pour reprendre une certaine antienne… est un défi de taille… ce court roman qui entremêle portraits psychologiques intimes et critique des apparences sociétales est écrit avec beaucoup de justesse, de fond comme de forme… le propos d’Ella Balaert va beaucoup plus loin que le doux babil de copines cherchant un dindon de la farce littéraire … il s’agit bien, sous le masque que nous portons haut les cœurs,  de poser, sans céder à un intellectualisme de mauvais aloi, fa     ce au regard cyclopéen d’autrui…la fondamentale question de l’identité à soi et de la foi que nous nourrissons envers nos propres représentations…. » Frédéric Grolleau

La suite ici: http://www.lelitteraire.com/?p=9964#more-9964

  •    Chronique de Thierry Ducret dans France3 Picardie matin
  •  logo france bleu

Interview en direct de Thierry Chareyre dans Le livre du  jour le 27 novembre 2012

« Ella Balaert s’amuse. Du moins, en apparence.  Pseudo mérite qu’on aille au-delà de la scène de genre, au-delà des liaisons dangereuses, pour apprécier la plongée profonde dans un enfer intérieur.Pseudo est comme un livre sur l’exil. Les personnages se perdent complètement, se falsifient et s’éloignent d’eux-mêmes( …) La dernière partie du roman aborde ainsi l’ultime dérive, à la fois terrifiante et passionnante. Dans cette réflexion sur notre époque et ses nouveaux comportements, sur l’identité et la virtualité mais aussi sur l’ultra-moderne solitude, Ella Balaert frappe fort (…)  Ce livre intense est lui-même addictif. On le lit d’une traite ». Virginie Troussier    Lire la suite ici: http://www.actualitte.com/critiques/monde-edition/critiques/pseudo-d-ella-balaert-1696.htm

  • Alexandry oury-Blaire (La vie des livres de Picardie et d’ailleurs):

« Pseudo est un roman épistolaire des temps modernes… Conformément à la tradition du genre, Ella Balaert embarque son lecteur avec une grande maîtrise, dans un échange de mails sans la moindre narration. Un régal. (…) « 

Lire la suite: http://alexandra.oury.over-blog.com/article-lecture-pseudo-d-ella-balaert-87620334.html

  • Le Courrier picard:

« Ella Balaert réinvente le genre épistolaire… La question aurait pu être banale: vont-elles (ces trois femmes) concrétiser avec Ulysse et franchir le cap du virtuel? L’important n’est pas là. Nous sommes dans le jeu pour le jeu. L’intérêt est la découverte des personnages, qui n’apparaissent qu’à travers leurs écrits… Voilà un roman qui se lit avec et pour le plaisir. Véritable invitation à la séduction« . M.M.H.

  • Martine L.Petauton, dans La cause littéraire:

 » Tout le livre est écrit, avec la précision et la concision sans poésie des messageries ; ça cliquette à un train d’enfer, et, au fur et à mesure, on se prend à avoir peur : «  mais où est le frein ? Et le signal d’alarme, au fait ? (…)  D’autant que Balaert en rajoute, en glissant dans cette première correspondance, une autre, non moins angoissante ; celle des 3 Parques entre elles (…)  Il y a dans cette affaire quelque chose du «  travail » un peu de naissance, un peu de deuil, qui accouche, au bout, et de surprises, et de drames. »

Lire le reste de l’article ici : http://www.lacauselitteraire.fr/pseudo-ella-balaert-2.html

  • Sophie Adriansen, dans La cause littéraire:

« Construit comme une pièce de théâtre, ce roman sobre, dans lequel l’auteur s’amuse à faire évoluer les styles des protagonistes au gré des évènements qui surgissent, met en lumière ce que l’écrit dit comme ce que les silences révèlent… Lecture très entraînante« 

Lire la suite: http://www.lacauselitteraire.fr/pseudo-ella-balaert.html

  • Oise Hebdo:

« Dans son précédent roman, intitulé Sylvain, E.B. remontait le temps, de la seconde guerre mondiale à la préhistoire. Cette fois, pas de bond en arrière: l’histoire se déroule à l’heure actuelle. Trois femmes, que tout sépare… et pourtant elles sont amies. 215 pages de mails, sans la moindre narration.  Entre mensonges et vérité. »  Aurélien Demay

Et dans la blogosphère: grand merci à ces lectrices et lecteurs!

  • Chronique de Bénédicte villard, dans Périgrinations littérairesqui a fait de Pseudo un « livre voyageur », merci à elle.

« Je suis dithyrambique, je l’avoue mais comment ne pas aimer ces trois femmes… et la fin… tout le long, j’ai eu une pensée pour l’aboutissement de l’histoire. Je savais qu’il serait percutant déstabilisant, mais la fin inventée par Ella Balaert est puissante. La maîtrise de l’aspect dramatique est parfaite. En conclusion, ce livre est mon plus gros coup de coeur de l ‘année. » Lire le reste de l’article : http://www.peregrinationslitteraires.com/

  • Violette dans Doucettement:

« … roman extrêmement agréable à lire, on a du mal à le reposer … le dénouement est spectaculaire… » la suite ici: http://doucettement.over-blog.com/article-pseudo-d-ella-balaert-117053561.html

  • Chronique du blog Des galipettes entre les lignes (8 avril 2013)

« Pseudo est bien moins anodin qu’il n’y paraît au premier coup d’œil( … )Servi par un style leste et entraîné, ce roman se lit avec beaucoup d’intérêt et de plaisir, forcément un peu pervers« . La suite ici: http://www.desgalipettesentreleslignes.fr/archives/2013/04/15/26874728.html

  • Chronique de Svyn (30 janvier 2013)

« Une écriture fine et incisive au service d’un sujet du quotidien… ce roman est un petit bijou ! »  http://www.babelio.com/livres/Balaert-Pseudo/313234#critiques

  • Chronique du Club de lecture de Karine:

« Ce livre met l’accent sur la proximité entre le réel et le virtuel, quand le virtuel s’installe dans le réel … Derrière un pseudo peut se cacher n’importe qui… ce livre enchaîne les surprises et les rebondissements ». Lire la suite: http://clubdelecture.forumactif.com/t3698-pseudo-de-ella-balaert

  • Chronique de Rêver en lisant:

« Ce livre a été pour moi une très bonne découverte. .. beaucoup de rebondissements.. » Lire la suite: http://rever-en-lisant.blogspot.com/2011/10/pseudo.html

  • Sur « A bride abattue« , chronique de MC Poirier (21 avril 2013)

« Avec son précédent livre, George Sand à Nohant, paru chez Belin en mars 2012, Eva (sic, c’est mignon) Balaert abordait déjà la question de l’identité dans une écriture elle aussi polymorphe. Ici le thème de l’estime de soi traverse le livre. Cette force est-elle innée pour les uns, une compétence à travailler pour les autres, un état perdu à reconquérir » ?

« Roman résolument moderne dans sa forme et très profond dans l’analyse, et que j’ai beaucoup aimé ». Laura

« Sakinia : Un bon roman, que je vous conseille ! » (9/10)

  • Chronique d’Yvon Bouëtté,  Littérature d’Irlande, de Bretagne et d’ailleurs

« Cachez-moi ce pseudo que je ne saurais connaître… Une approche originale du monde d’internet dont nous sommes tous, moi blogueur et vous lectrices et lecteurs, des acteurs et utilisateurs journaliers au point, parfois, de souffrir du manque »… Lire la suite: http://eireann561.canalblog.com/

  • J.P. Galibert :  

Réalité et virtualité: »Sur le réseau qui nous sert de caverne, et où les autres projettent leurs ombres, notre image exposée n’est-elle pas plus réelle que notre corps invisible? Le personnage virtuel pour lequel je me prends, et pour lequel je suis pris, est désormais plus réel que chacun de mes rôles »… Lire la suite: http://jeanpaulgalibert.wordpress.com/2011/10/09/sommes-nous-deja-imaginaires-lire-balaert-1/

les femmes, LA femme: »Nietzsche compare la femme à un oignon : si on lui demande la vérité, elle minaude, se fait prier et finit par enlever une de ses nombreuses pelures.  Qu’y a-t-il au centre de l’oignon ? Un mystère ? Un secret ? Rien, peut-être, nous ne pouvons savoir, dit-il, parce que nous ne savons pas ce que les femmes se disent entre elles. … Ella Balaert, pour écrire Pseudo, a été obligée de lever un coin du voile, car elle nous montre trois femmes qui parlent entre elles pour inventer une femme, afin de séduire un Monsieur par mail. Nous avons donc les minutes de leurs discussions stratégiques, entres femmes, pour jouer La femme. » Lire la suite: http://jeanpaulgalibert.wordpress.com/2011/10/16/la-femme-est-elle-une-arme-des-femmes-_______lire-balaert-3/

  • Yves Mabon  sur son blog :

 » Encore une fois, Ella Balaert crée de beaux personnages de femmes …  Décidément, Ella Balart est une écrivaine à découvrir pour ceux qui ne la connaissent pas encore. Pour les autres, il suffit de continuer à la lire pour se délecter à chaque fois de ses pages. »

http://www.lyvres.fr/2018/05/pseudo.html

3 Réponses

  1. Bravo pour ce joli livre que j’ai beaucoup apprécié. La fin est une grande réussite!

    27 avril 2013 à 13:45

  2. Une découverte qui a l’air passionnante ! 😉

    28 février 2012 à 19:29

  3. j’ai prêté ton livre avant de partir à ma vieille amie Jeanne, qui ne dédaigne pas les rencontres virtuelles …je suis s
    ûre qu’elle va apprécier

    20 octobre 2011 à 14:47

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